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José HUBERT, actualité et réflexions
23 novembre 2020

« Y a pas de quoi se plaindre ! ».

Un questionnement.
« Y a pas de quoi se plaindre ! ».
« Je n’ai pas le droit de me plaindre » en effet devant un tel repas… n’est-ce pas une vision du type la bouteille à moitié vide
ou
« J’ai le devoir de me réjouir » qu’il en soit ainsi… un autre regard opposé, porté sur la bouteille à moitié pleine.
Chaque jour, 25 000 personnes meurent de faim dans le monde dont 18 000 enfants parmi les 400 millions qui passent leur journée en ayant faim.
Voir la bouteille à moitié pleine plutôt qu’à moitié vide : est-ce aussi fondamental que ce qu’on veut bien affirmer ?
En fait, on oublie le plus souvent les circonstances et le contexte.
S’il y a abondance, cela semble futile.
Mais s’il y a disette, famine et sécheresse, c’est fondamental de regarder la vie avec des lunettes positives, ça soutient le moral et induit le fameux effet placebo dont les conséquences positives sur les fonctions du corps ont été démontrées. Je n’ai pas dit que dans des cas extrêmes, c’est facile !
Un exemple : donc si je suis perdu dans le désert, souffrant d’avoir soif et que je « tombe » sur une bouteille d’eau de Villers Monopole, remplie à moitié, j’ai intérêt à la voir à moitié pleine plutôt qu’à moitié vide : « Ouf je suis sauvé, il en reste dans la bouteille au lieu de : catastrophe je suis « foutu », il n’y en a plus que la moitié ». Deux effets sur le mental opposés.
P.S. Eau de Villers Monopole, pourquoi à votre avis ?
L’image contient peut-être : table, nourriture et intérieur
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